Un impact sur votre pare-brise ? N’attendez pas pour faire intervenir un professionnel et réparez-le au plus vite !
Le pare-brise de votre véhicule est composé de verre feuilleté : une feuille de PVB (polybutiral vynilique) est intercalée entre deux couches de verre. En cas d’impact, c’est la surface extérieure qui est touchée. Même de quelques millimètres, cet impact multiplie par quatre le risque de fissure du pare-brise**. Une fois fissuré, ce dernier n’est plus réparable et il faut alors le remplacer. A noter qu’avec les fortes variations de température (dégivrage par temps froid, climatisation par fortes chaleurs), les chocs et les vibrations liées au revêtement (nid de poule, ralentisseurs), le risque augmente. Alors, que faire en cas d’impact ?
Réparer son pare-brise en moins d’une heure
Dès l’apparition d’un impact, n’attendez pas et faites appel à un professionnel. Pour être réparé, sa taille ne doit notamment pas dépasser celle d’une pièce de 2 € et il ne doit pas être situé dans le champ de vision du conducteur (cf norme AFNOR NF R 19-601-1).
En plus de faire des économies, la réparation d’un pare-brise étant cinq fois moins chère que son remplacement*, vous faites un geste pour l’environnement en réduisant vos déchets de 99%. De plus, cette intervention est très rapide : après avoir mis sous vide la zone de l’impact, le technicien injecte une résine. En moins d’une heure, voilà votre pare-brise réparé.
Des technologies de réparation de pointe
Chaque année, ce sont plus de 250 000 pare-brise qui sont réparés par les équipes de CARGLASS®, et autant de remplacements ainsi évités. Grâce une recherche constante d’amélioration des techniques de réparation et de la composition de la résine utilisée, les interventions des équipes CARGLASS® sur vos pare-brise garantissent des résultats quasi invisibles à l’oeil, une meilleure tenue dans le temps et une rigidité initiale retrouvée. En plus, la réparation d’impact est garantie à vie. Alors n’hésitez plus et faites réparer votre impact !
*Données Carglass 2018
** Etude de Daniel Samain(CNRS), publiée en 2011.